Association pour l'histoire du lycée Livet de Nantes http://www.livet-histoire.fr/ Ce site présente différents types de documents portant sur l'histoire du lycée Livet. Il offre également des informations sur l'association. fr SPIP - www.spip.net Projets de réhabilitation http://www.livet-histoire.fr/article458.html http://www.livet-histoire.fr/article458.html 2010-12-29T11:08:03Z text/html fr Claude Briantais La bourse du travail et les salons Mauduits - <a href="http://www.livet-histoire.fr/rubrique264.html" rel="directory">L'institution Livet, la bourse du travail et les salons Mauduits</a> <div class='rss_texte'><p><strong>La bourse du travail et les salons Mauduits</strong></p> <dl class='spip_document_3323 spip_documents' > <dt><a href="IMG/jpg/la_bourse_du_travail.jpg" title='JPEG - 815 ko' type="image/jpeg"><img src='local/cache-vignettes/L500xH455/la_bourse_du_travail-6c2f9-fcc0d.jpg' width='500' height='455' alt='JPEG - 815 ko' style='height:455px;width:500px;' /></a></dt> </dl> <dl class='spip_document_3324 spip_documents' > <dt><a href="IMG/jpg/batiment_et_parc.jpg" title='JPEG - 789.4 ko' type="image/jpeg"><img src='local/cache-vignettes/L500xH174/batiment_et_parc-31299-939f4.jpg' width='500' height='174' alt='JPEG - 789.4 ko' style='height:174px;width:500px;' /></a></dt> </dl> <dl class='spip_document_3325 spip_documents' > <dt><a href="IMG/jpg/salons_Mauduits.jpg" title='JPEG - 453.7 ko' type="image/jpeg"><img src='local/cache-vignettes/L500xH556/salons_Mauduits-5ebaf-fb9ac.jpg' width='500' height='556' alt='JPEG - 453.7 ko' style='height:556px;width:500px;' /></a></dt> </dl></div> Antoine Dufour http://www.livet-histoire.fr/article237.html http://www.livet-histoire.fr/article237.html 2009-11-28T17:28:09Z text/html fr Claude Briantais Antoine Dufour (1808-1885) Pierre-Antoine Dufour est né le 12 juillet 1808 à Moutiers, en Savoie alors française sous le nom de département du Mont-Blanc depuis 1792. La Savoie sera restituée au royaume de Sardaigne en 1814 ; le futur maire de Nantes ne prendra la nationalité française par naturalisation que le 20 Avril 1848. Il s'installe au Havre avec son frère Henry-Philippe et ils ouvrent en 1837 un établissement de commerce. En 1841 il épouse, à Nantes, Marie-Elisabeth MAËS née en 1821 dans (...) - <a href="http://www.livet-histoire.fr/rubrique158.html" rel="directory">9. Histoire de quartiers</a> <div class='rss_texte'><p><strong>Antoine Dufour (1808-1885)</strong></p> <p>Pierre-Antoine Dufour est né le 12 juillet 1808 à Moutiers, en Savoie alors française sous le nom de département du Mont-Blanc depuis 1792. La Savoie sera restituée au royaume de Sardaigne en 1814 ; le futur maire de Nantes ne prendra la nationalité française par naturalisation que le 20 Avril 1848.</p> <p>Il s'installe au Havre avec son frère Henry-Philippe et ils ouvrent en 1837 un établissement de commerce. En 1841 il épouse, à Nantes, Marie-Elisabeth MAËS née en 1821 dans une famille de négociants très connus Maës-Haentjens d'origine hollandaise. Dans leur domicile du Havre naissent deux garçons. Il participe à la vie de la chambre de commerce et est élu membre en 1852 puis vice-président. Il arme des navires et commerce avec Nantes et Haïti.</p> <p>Il quitte Le Havre en 1856 et vient s'établir à Nantes et il s'occupe des affaires commerciales de sa belle-famille. Pour les élections municipales de Juillet 1865, il est sollicité par la liste d'union de l'opposition comprenant toutes les nuances des républicains aux royalistes. La liste triomphe et obtient 33 sièges contre 3 seulement à la liste sortante. L'élection est vue d'un œil défavorable par l'administration impériale et il faut attendre le 12 Octobre pour que le conseil municipal soit installé. Le gouvernement attendra le 24 janvier 1866 pour nommer l'administration municipale : renonçant à choisir un maire hors du conseil, l'empereur nomme Antoine Dufour maire. Il avait été élu trente-sixième, en dernière position.</p> <p>La carrière politique d'Antoine Dufour s'arrête aux élections suivantes d'août 1870 où il conduit la liste officielle : il se retire après le premier tour. Un maire par intérim est nommé le 20 août, Waldeck-Rousseau. Il décède à Nantes le 15 juillet 1885.</p> <p>Ravilly E. et de Sallier Dupin J.Y, <i>La ville de Nantes de la Monarchie de Juillet à nos jours</i>, Nantes 1985.</p></div> De la basilique Saint-Donatien aux croix de la rue Dufour http://www.livet-histoire.fr/article212.html http://www.livet-histoire.fr/article212.html 2009-09-13T07:46:57Z text/html fr Claude Briantais La Basilique Saint-Donatien © Fonds C.B Saint Donatien et Saint Rogatien Leur histoire s'ancre à la fin du IIIème siècle dans l'Est de ce qui était autrefois Portus Namnetus, une petite cité gallo-romaine d'environ 20000 habitants. Faisant partie du vaste empire romain, la ville, florissante grâce à ses cours d'eau, débordait au-delà des remparts. Dans la campagne, des familles aisées, venues s'enrichir du négoce, avaient installé de riches villas, au centre de domaines bordant la voie romaine. C'est (...) - <a href="http://www.livet-histoire.fr/rubrique158.html" rel="directory">9. Histoire de quartiers</a> <div class='rss_texte'><p><strong>La Basilique Saint-Donatien</strong></p> <dl class='spip_document_1893 spip_documents' > <dt><a href="IMG/jpg/Saint_Donatien_1902.jpg" title='JPEG - 409.7 ko' type="image/jpeg"><img src='local/cache-vignettes/L500xH310/Saint_Donatien_1902-7ce50-92375.jpg' width='500' height='310' alt='JPEG - 409.7 ko' style='height:310px;width:500px;' /></a></dt> </dl> <p>© Fonds C.B</p> <p><strong>Saint Donatien et Saint Rogatien</strong></p> <p>Leur histoire s'ancre à la fin du IIIème siècle dans l'Est de ce qui était autrefois Portus Namnetus, une petite cité gallo-romaine d'environ 20000 habitants. Faisant partie du vaste empire romain, la ville, florissante grâce à ses cours d'eau, débordait au-delà des remparts. Dans la campagne, des familles aisées, venues s'enrichir du négoce, avaient installé de riches villas, au centre de domaines bordant la voie romaine. C'est dans l'une de ces propriétés, vraisemblablement située à l'emplacement de l'actuelle basilique, que vivaient les parents de Donatien et Rogatien, frères que la tradition présente comme issus d'une " illustre" famille armoricaine. Sortant de leur demeure, les deux jeunes frères empruntaient l'ancien haut chemin d'Angers (actuelle rue Dufour) pour rejoindre l'une des portes de la ville close.</p> <p>Dénoncés comme chrétiens, ils furent arrêtés et jugés par le gouverneur de la province. Ne reniant pas leur croyance, ils subirent, suivant l'édit de Dioclétien, la dislocation du chevalet, avant d'être transpercés par une lance et décapités par le glaive, en l'an 304.</p> <hr class="spip" /> <dl class='spip_document_1066 spip_documents' > <dt><a href="IMG/jpg/Saint-Donatien_Saint_Rogatien.jpg" title='JPEG - 29.4 ko' type="image/jpeg"><img src='local/cache-vignettes/L400xH576/Saint-Donatien_Saint_Rogatien-df909-d4ba3.jpg' width='400' height='576' alt='JPEG - 29.4 ko' style='height:576px;width:400px;' /></a></dt> <dt class='spip_doc_titre' style='width:350px;'><strong>Icône des Saints Martyrs. © Eva Vlavianos.</strong></dt> </dl> <hr class="spip" /> <p><strong>Un lieu de sépulcre</strong></p> <p>La basilique datant de 1873, aurait été construite sur le tombeau de Donatien et Rogatien creusé suivant la coutume au sein de leur demeure. En entrant dans l'édifice, on découvre sur la gauche de la nef un sarcophage. Ce sépulcre serait celui dans lequel les corps des martyrs reposèrent entre l'édit de Constantin accordant la paix religieuse en 313, et le XII ème siècle.</p> <p>Pour voir l'emplacement probable de leur tombe, il faut se rendre dans la crypte construite suivant les plans de Liberge en 1881. Sous le chœur, il est signalé par une plaque de marbre noir.</p> <p>Des multiples œuvres liturgiques, peintures ou sculptures à l'image des martyrs que renferme l'église, les dix vitraux des bas-côtés livrent depuis la fin du XIX ème siècle un parcours imagé sur la vie des Enfants Nantais du baptême au chemin de croix.</p> <p><strong>Du parvis aux deux croix</strong></p> <p>Sur la place des Enfants Nantais qui porte ce nom depuis 1891, débouchent les rues Saint Rogatien et Saint Donatien se nommant ainsi depuis 1874.</p> <p>En cheminant de cette dernière vers la rue Dufour, on emprunte le parcours des processions qui se tenaient encore jusqu'aux années 1950 en l'honneur des Enfants Nantais.</p> <p>Au n°35 de la rue Dufour, on passe devant la maison d'Antoine Lepré, boulanger qui, de 1792 à 1802, protégea les reliques des saints de la profanation. Au début de la rue, existe sur la gauche un enclos dans lequel se dressent deux croix de granit entourées d'épines. D'après la tradition, c'est le lieu du supplice.</p> <p>Extraits de <strong>Nantes au quotidien</strong></p> <hr class="spip" /> <dl class='spip_document_1062 spip_documents' > <dt><a href="IMG/jpg/Les_Enfants_nantais.jpg" title='JPEG - 83.7 ko' type="image/jpeg"><img src='local/cache-vignettes/L500xH305/Les_Enfants_nantais-a00e4-13308.jpg' width='500' height='305' alt='JPEG - 83.7 ko' style='height:305px;width:500px;' /></a></dt> </dl> <p>© Archives lycée Livet</p> <hr class="spip" /> <dl class='spip_document_3111 spip_documents' > <dt><a href="IMG/jpg/rsz_dsc02346.jpg" title='JPEG - 188.4 ko' type="image/jpeg"><img src='local/cache-vignettes/L456xH680/rsz_dsc02346-8a02c-17f5e.jpg' width='456' height='680' alt='JPEG - 188.4 ko' style='height:680px;width:456px;' /></a></dt> </dl> <p>© Photo M.G</p> <dl class='spip_document_3112 spip_documents' > <dt><a href="IMG/jpg/rsz_dsc02350.jpg" title='JPEG - 158.2 ko' type="image/jpeg"><img src='local/cache-vignettes/L456xH680/rsz_dsc02350-c6355-dac18.jpg' width='456' height='680' alt='JPEG - 158.2 ko' style='height:680px;width:456px;' /></a></dt> </dl> <p>Protection des croix lors d'un chantier de construction en septembre 2010.</p> <p>© Photo M.G</p> <hr class="spip" /> <dl class='spip_document_1061 spip_documents' > <dt><a href="IMG/jpg/scan_Lyvet_2w-2.jpg" title='JPEG - 64.7 ko' type="image/jpeg"><img src='local/cache-vignettes/L473xH288/scan_Lyvet_2w-2-3a8d7-a1dee.jpg' width='473' height='288' alt='JPEG - 64.7 ko' style='height:288px;width:473px;' /></a></dt> </dl> <p>Années 50.</p> <p>Des élèves géomètres du lycée au sommet de l'une des tours de la Basilique Saint-Donatien…</p> <p>© Archives lycée Livet</p> <hr class="spip" /> <dl class='spip_document_1129 spip_documents' > <dt><a href="IMG/jpg/rsz_img_09355.jpg" title='JPEG - 578.8 ko' type="image/jpeg"><img src='local/cache-vignettes/L500xH375/rsz_img_09355-40d53-0bf01.jpg' width='500' height='375' alt='JPEG - 578.8 ko' style='height:375px;width:500px;' /></a></dt> </dl> <p>© Photo Ph. P</p> <dl class='spip_document_1127 spip_documents' > <dt><a href="IMG/jpg/rsz_1img_08655.jpg" title='JPEG - 568.5 ko' type="image/jpeg"><img src='local/cache-vignettes/L500xH373/rsz_1img_08655-5c894-d8587.jpg' width='500' height='373' alt='JPEG - 568.5 ko' style='height:373px;width:500px;' /></a></dt> </dl> <p>La basilique Saint-Donatien vue de la terrasse des géomètres.</p> <p>© Photo Ph.P</p> <hr class="spip" /> <p><strong>Les Enfants Nantais</strong></p> <p>Peu après Saint-Clément, nous longions la façade de l'école professionnelle Livet, un collège technique à la mode du temps, que les lycéens tenaient universellement en grand mépris, puis nous laissions sur notre gauche la basilique des Enfants Nantais, Donatien et Rogatien, défigurée par ses deux moignons de tours comme une bête décornée.</p> <p><strong>Julien Gracq, <i>La forme d'une ville</i>, p.56.</strong></p> <hr class="spip" /> <dl class='spip_document_1126 spip_documents' > <dt><a href="IMG/jpg/rsz_img_09166.jpg" title='JPEG - 686.1 ko' type="image/jpeg"><img src='local/cache-vignettes/L500xH375/rsz_img_09166-1f34b-102b9.jpg' width='500' height='375' alt='JPEG - 686.1 ko' style='height:375px;width:500px;' /></a></dt> </dl> <p>Le lycée vu d'un des clochers de Saint-Donatien.</p> <p>© Photo Ph.P</p></div> Le Musée des pompiers http://www.livet-histoire.fr/article208.html http://www.livet-histoire.fr/article208.html 2009-07-07T22:28:03Z text/html fr Claude Briantais Un projet de service de pompes En 1895, les élèves, encouragés par leur succès, conçurent l'idée d'établir par eux-mêmes, comme ils l'avaient fait pour leur machine à vapeur, l'éclairage électrique dans l'établissement. Sous la direction de l'un d'eux et l'œil du maître, ils menèrent à bonne fin leur entreprise. Le travail achevé, ils invitèrent des ingénieurs, des amis de l'institution, des anciens élèves. Le triomphe fut complet. On prodigua les éloges ; on distribua des récompenses pour perpétuer le souvenir de (...) - <a href="http://www.livet-histoire.fr/rubrique158.html" rel="directory">9. Histoire de quartiers</a> <div class='rss_texte'><p><strong>Un projet de service de pompes</strong></p> <p>En 1895, les élèves, encouragés par leur succès, conçurent l'idée d'établir par eux-mêmes, comme ils l'avaient fait pour leur machine à vapeur, l'éclairage électrique dans l'établissement. Sous la direction de l'un d'eux et l'œil du maître, ils menèrent à bonne fin leur entreprise. Le travail achevé, ils invitèrent des ingénieurs, des amis de l'institution, des anciens élèves. Le triomphe fut complet. On prodigua les éloges ; on distribua des récompenses pour perpétuer le souvenir de cet évènement. Une nouvelle gloire était acquise. Ces encouragements firent naître le désir d'une autre entreprise. L'occasion se présenta et fut saisie avec empressement. Après une revue des pompes de la ville, il nous vint à l'idée, à mon fils et à moi, d'habituer nos élèves au fonctionnement des pompes à incendie. Nous pensions que la plupart des pensionnaires, habitant la campagne, deviendraient des élus municipaux, pourraient rendre de grands services en établissant un service de pompes dans leurs communes. Nous leur fîmes part de cette idée, qu'ils accueillirent avec enthousiasme. Ils se réjouissaient de faire eux-mêmes la pompe d'apprentissage de leur nouvelle occupation. Nous en parlons au commandant de pompiers, qui goûta cette idée avec empressement. Mais il fallait l'approbation de l'Administration. Nous nous adressâmes à l'adjoint chargé de ce service ; il nous objecta que la chose n'était pas possible : les établissements publics de la ville ne faisaient point cet exercice, on ne pouvait y autoriser un établissement privé.</p> <p>Eugène Livet, <i>L'Institution Livet et l'Enseignement dans la moitié du XIXe siècle</i>, 1905.</p> <hr class="spip" /> <dl class='spip_document_1045 spip_documents' > <dt><a href="IMG/jpg/pompes_a_vapeur_place_Graslin_Nantes_debut_XIXeme_phototheque_Musee_Sapeurs_Pompiers_Loire_Atlantique.jpg" title='JPEG - 1.5 Mo' type="image/jpeg"><img src='local/cache-vignettes/L500xH334/pompes_a_vapeur_place_Graslin_Nantes_debut_XIXeme_phototheque_Musee_Sapeurs_Pompiers_Loire_Atlantique-ee7a3-304cb.jpg' width='500' height='334' alt='JPEG - 1.5 Mo' style='height:334px;width:500px;' /></a></dt> <dt class='spip_doc_titre' style='width:350px;'><strong>Pompes à vapeur, place Graslin Nantes (fin XIXème). © Photothèque Musée des Sapeurs Pompiers de Loire-Atlantique.</strong></dt> </dl> <hr class="spip" /> <dl class='spip_document_1060 spip_documents' > <dt><a href="IMG/jpg/AMNantes_H3_1426.jpg" title='JPEG - 313.9 ko' type="image/jpeg"><img src='local/cache-vignettes/L500xH352/AMNantes_H3_1426-d75ed-c7243.jpg' width='500' height='352' alt='JPEG - 313.9 ko' style='height:352px;width:500px;' /></a></dt> <dt class='spip_doc_titre' style='width:350px;'><strong>Dessin de la pompe à incendie à vapeur. © Crédit photographique Archives municipales de Nantes. </strong></dt> </dl> <hr class="spip" /> <dl class='spip_document_992 spip_documents' > <dt><a href="IMG/jpg/rsz_11rsz_1uniforme_sapeurs-pompiers_003.jpg" title='JPEG - 351.8 ko' type="image/jpeg"><img src='local/cache-vignettes/L500xH375/rsz_11rsz_1uniforme_sapeurs-pompiers_003-7dbf4-4b0f1.jpg' width='500' height='375' alt='JPEG - 351.8 ko' style='height:375px;width:500px;' /></a></dt> <dt class='spip_doc_titre' style='width:350px;'><strong>Un uniforme de pompier vers 1900. © Photothèque Musée des Sapeurs Pompiers de Loire-Atlantique. </strong></dt> </dl> <hr class="spip" /> <dl class='spip_document_1668 spip_documents' > <dt><a href="IMG/jpg/LIVET_17.jpg" title='JPEG - 242.6 ko' type="image/jpeg"><img src='local/cache-vignettes/L500xH312/LIVET_17-5d999-472a0.jpg' width='500' height='312' alt='JPEG - 242.6 ko' style='height:312px;width:500px;' /></a></dt> </dl> <p>Quartier Saint-Clément.</p> <p>© Fonds Le Faucheur</p> <hr class="spip" /> <dl class='spip_document_985 spip_documents' > <dt><a href="IMG/jpg/Pompiers_Saint-Clement.jpg" title='JPEG - 885.5 ko' type="image/jpeg"><img src='local/cache-vignettes/L500xH394/Pompiers_Saint-Clement-cfe1c-0df37.jpg' width='500' height='394' alt='JPEG - 885.5 ko' style='height:394px;width:500px;' /></a></dt> </dl> <p>Ouest-France, 30.06.2009</p> <p>Musée des sapeurs pompiers de Loire Atlantique, 37 rue du Maréchal Joffre, 44000 Nantes.</p> <p><a href='http://www.sdis44.fr/sdis44/index.php/sdis44/content/view/full/562.html' class='spip_out'><strong>Musée des sapeurs pompiers </strong></a></p> <hr class="spip" /> <dl class='spip_document_1046 spip_documents' > <dt><a href="IMG/jpg/Musee_Sapeurs_Pompiers_Loire_Atlantique.jpg" title='JPEG - 2.6 Mo' type="image/jpeg"><img src='local/cache-vignettes/L500xH334/Musee_Sapeurs_Pompiers_Loire_Atlantique-c3d3a-3b8ac.jpg' width='500' height='334' alt='JPEG - 2.6 Mo' style='height:334px;width:500px;' /></a></dt> <dt class='spip_doc_titre' style='width:350px;'><strong>Le Musée. © Photothèque Musée des Sapeurs Pompiers de Loire-Atlantique.</strong></dt> </dl> <hr class="spip" /> <p>Le Musée est ouvert de 14h à 18 h, les 1er dimanche et 2ème et 3ème mardi de chaque mois sauf jours fériés. En dehors de ces horaires, visites sur RDV et payantes (3 € par personne pour les groupes à partir de 10 personnes). Téléphone-répondeur : 02 28 20 41 56 Adresse électronique : archives.musee@sdis44.fr Site Internet : http:// musee-sapeurs-pompiers-44.org</p></div>