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La Décale, le Père-Cent, la Boquette, les monômes, la cannib’s
© Fonds C.B
DKL Nantes-Armentières 1916
© Fonds C.B
La DKL
Cette écriture phonétique de la Décale est simplement phonétique et nantaise, et non pas angevine. À la différence de la "devise" de la p.2 de mon Carnet de Tradition : M S KOH = Aime, Souffre, Potasse : tout un programme pour un conscrit !
Michel Kerézéon, 22.04.2010
Directement issue des premières E.N.P la Décale fait partie des traditions. Elle exprime l’esprit de sortie, le moment longuement attendu venant joyeusement couronner une formation exigeante et, par là même, souvent de rudes efforts.
Au monde clos et réglé des études et de l’internat succèdent les petites ou et grandes décales. Rites de passages qui viennent clore (momentanément) de studieux et prometteurs apprentissages et où la permissivité ouvre une parenthèse festive afin de marquer un nouveau départ dans l’existence.
La décale se donne à voir et à entendre ; se répand dans la ville dans l’enchaînement des couplets glorifiant l’esprit d’équipe, réaffirmant la camaraderie. A la cale qui stabilise s’oppose le mouvement, la gaieté des monômes et du boire : la décale.
C.B
L’expression DKL petite ou grande, tangente etc.. était utilisée dans toutes les prépas. par exemple à Grenoble au lycée Champollion. Ces expressions étaient même utilisées par les lycéens de sixième à terminale. Tangente de pâques, tangente de Noël etc...
V. Pontonnier ( ancien de Champollion I P). 5 octobre 2010.
Il existe plusieurs versions de ces Chants de Décale :
Chant de départ N°1(Source : Michel Dumontier)
Chant de départ N°2 (Source : patrimoine.gadz.org)
Origine : vers 1890 (?)
Festival de Ville La Grand, Haute-Savoie.
"Les Allobroges, appelé aussi le "Chant des Allobroges", est l’hymne de la Savoie. Son nom fait référence à l’ancien peuple celte des Allobroges, installé sur les terres de Savoie depuis le début du IIIe siècle av. J.-C.
C’est un chant de liberté dont les paroles sont de l’auteur savoyard Joseph Dessaix. Il est donné, sous le nom de "La Liberté", pour la première fois à Chambéry en 1856, lors de la fête donnée en l’honneur du statut constitutionnel de 1848. La musique serait d’un certain Consterno (ou Conterno) qui était chef de musique d’un contingent militaire sarde de retour de Crimée et séjournant à Chambéry.
Ce chant de "La Liberté" évoque la Liberté en tant qu’allégorie vivante qui, chassée de France, se réfugie dans les montagnes de Savoie où elle trouve le soutien du peuple des Allobroges qui va aider moralement tous les peuples du monde qui aspirent à la liberté. Cet hymne évoque le refuge en Savoie des proscrits par le Coup d’État de Louis-Napoléon Bonaparte (1851).
Très vite ce chant va connaître en très grand succès à travers tout le duché de Savoie et même à Genève et à Lausanne, et va être plus connu sous le nom de "Chant des Allobroges", devenu l’hymne de tous les Savoyards. La Savoie, dans son hymne national, a su se soucier des nations voisines tout en mettant en avant les grandes idées de liberté, fraternité, amour et égalité."
© Archives lycée Livet
Extrait du livre Henri Coutis,La Nat a cent ans.
Henri Coutis, Proviseur du Lycée Technique de Voiron de 1967 à 1981.
DKL éditée par le Bazard 1924-1928. Sur l’air des Allobroges.
Savoie-Dauphiné.
© Archives lycée Livet
© Archives lycée Livet
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Traditions
Dans son livre-mémoire de 1905, Eugène Livet évoque l’ambition de ses élèves d’apprendre plus : « Ils visèrent plus haut que de savoir lire, écrire et calculer. […] Ils entendirent parler des Écoles d’Arts et Métiers, mais les conditions d’entrée effrayaient maîtres et élèves. Un de leurs camarades […] fut admis. Quel effet produisit ce succès ! L’ambition vint à plusieurs de tenter l’épreuve. » Et ils se préparèrent pour la proche école d’Angers. Ainsi ont dû naître des liens entre les élèves de cette école (dont des « Nantais des Arts » et de l’E.N.P Livet, ce qui expliquerait des similitudes entre certaines de leurs Traditions.
Tout d’abord, l’appellation des élèves… Le nom Gad’Z’Arts ou gars des Arts (et Métiers) est de l’argot scolaire, né après la création de la première École impériale d’Arts et Métiers de Châlons-sur-Marne en 1806 qui "essaimera" plus tard partiellement en 1811 à Beaupréau (49), puis en 1815 à Angers. « la Chanson des Gad’Z’Arts » est créée à Angers en 1859. Par analogie, les élèves des E.N.P vont s’inspirer de leurs anciens devenus élèves des A & M : ils se dénomment à des dates inconnues (début du XIXème ?) Vierz’Arts de Vierzon, Bazarts (!) de Voiron et Nant’Z’Arts de Nantes. Il est remarquable de constater que l’Amicale nantaise des anciens élèves de Livet a conservé la graphie initiale, alors que la Société des Ingénieurs Arts et Métiers a abandonné en 1998 celle de 1947 (par exemple) pour GadzArts.
L’uniforme… A la différence des A & M, il n’est plus obligatoire depuis la rentrée de 1941. Toutefois, des casquettes ressortirent d’armoires nantaises en juin 1947 pour coiffer des A Spés internes… Et il reste des photographies des promotions d’avant 1940.
EX… Un des termes du vocabulaire livétien le plus connu. EX comme Exance, terme gadzarique signifiant la fin de la scolarité, la « délivrance » des liens scolaires. C’est aussi la désignation des « 4èmes années » - normale et spéciale – avant la sortie de l’ENP et des Anciens élèves. Pour mémoire, dans les années 1945-50, la promotion sortante célébrait la fin de sa rude scolarité par son « Concert des EX », dans la salle Bel-Air, en ville : le programme était celui d’une revue de variétés, avec l’animation du Livet-Jazz, chansons, saynètes et sketchs, avec le quart d’heure de musique classique du professeur de physique, M.Furst.
La Décale… Autre terme traditionnel dérivé du verbe « décaler » - ôter les cales de quelque chose » -, enlever les obstacles à la liberté, être délivré des contraintes scolaires et de l’internat si pénible pour des jeunes… Il sert pour deux désignations : le jour du départ en vacances – scolaires ou définitives – et la chanson qui exprime joyeusement la liberté retrouvée en quittant Nantes. Ce chant se désigne sous la graphie phonétique D.K.L. C’est le véritable hymne des Nant’Z’Arts, « la Chanson de la Décale » sur l’air des Allobroges. Commune à toutes les E.N.P, une hypothèse, liée à l’air dauphinois-savoyard, lui donnerait comme origine Voiron, la 1ère des « quatre vieilles ENP », d’où serait partie cette chanson vers les autres E.N.P et… les écoles des A & M !
Il est une dernière tradition artistique : l’exécution de la Clé d’Ex – une œuvre d’art en bois, d’environ 1m, 60, symbole de la Promotion -, qui symboliquement sert à fermer la porte de l’E.N.P à la dernière DKL, à la sortie définitive. Mais, cette tradition n’a été respectée qu’irrégulièrement par les promotions, compte tenu du faible nombre de clés identifiées. Et des Gadzarts, anciens élèves de Vierzon, Armentières, Tarbes des années 1949-50, n’ont pas le souvenir de cette tradition en leurs E.N.P. La proximité de l’école A & M d’Angers expliquerait la particularité et la singularité nantaises.
Ainsi, face à la richesse des Traditions A & M, il est intéressant de souligner celles qui sont communes ou semblables avec l’ancienne E.N.P : EX, DKL, clé d’Ex…
Michel Kerézéon.
Tous droits réservés.
© Archives lycée Livet
© Fonds V. Silard
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Ce n’est pas un EX quelconque ! Les patronymes sont incorporés. L’esprit de corps est manifeste.
© Archives lycée Livet
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Documents Maurice Pelloquet
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Documents Maurice Pelloquet
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Promo 44-48
Documents Maurice Pelloquet
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Le Père Cent 1951
De gauche à droite : Renaudin, Jacky Roger
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© Fonds J.C Bertrand
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Le Père-Cent
Dessin J.Peyronnet
EX-54
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Ce qui est écrit au dos
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Monôme du Père Cent remontant la rue Crébillon à Nantes.
Ex-55
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© Fonds P. Coïc
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© Fonds P. Coïc
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La maquette de locomotive : ici, un outil à finalité pédagogique
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La D.G.D.K.L.
Ouf ! Après ces quatre années de souffrances amères
Que nous avons vécues, à demi-séquestrés,
Poussons un grand soupir, regardons en arrière
Tous les maux d’ici-bas, et par nous supportés
Fini, tous les matins, le réveil en fanfare
Qui nous sortait du lit, à demi-endormis
Encore tout imprégnés de terribles cauchemars
Qui nous avaient tenus éveillés dans la nuit
Finies les longues heures où, nous écoutions
Les discours fastidieux de nos chers professeurs
Qui ne ménageaient pas les interrogations
Sans songer qu’elles étaient pour nous un grand malheur.
Finies, ô ! Quelle joie, les ballades de colle
Dans notre promotion seront bien rares ceux
Qui après tout ce temps passé dans cette école
N’auront jamais goûté au trois par trois, une, eux.
Finie tous les dimanches la rentrée à sept heures
Qui nous interdisait toute liberté,
Nous allons maintenant connaître le bonheur,
Nous pouvons tout au moins en partie l’espérer.
Empruntons maintenant pour notre bon plaisir
La célèbre machine à remonter le temps
Qui va nous transformer selon notre désir
Au temps où nous étions encore des enfants.
Essayons donc un peu de remettre en mémoire
La première journée passée à l’E.N.P.
Chacun de nous avait plus ou moins le cafard
Et songeait tristement : quatre années à tirer !
Au fond ce n’était pas si long qu’on le croyait,
Nous avons bien eu tort, parfois, de nous en faire
La D.G.D.K.L. est là tout près, bien près.
Adieu tous les Nant’z’arts, conscrits et paillassons
Adieu tous les Anciens et vous aussi les pions.
Adieu tous les devoirs, les livres, et les cahiers,
Nous allons dans cent jours quitter cette boquette
Mais encore une fois avant de décaler,
Chantons tous le refrain de cette chansonnette :
Nous sommes des Ex-54
Et nous serons toujours d’attaque.
© Fonds J.C Bertrand
© Fonds J.C Bertrand
© Archives lycée Livet
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Ex-55
Pour le monôme en ville
© Fonds J.C Bertrand
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Le cahier des traditions
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Minus, c’est l’appellation des élèves du cours préparatoire, comme ensuite : conscrit-1e année, paillasson-2e année, ancien-3e année, vétéran-4e année. Toujours des emprunts gadzariques !
© Fonds TM1 Ex58
© Fonds TM1 Ex58
© Fonds TM1 Ex58
© Fonds TM1 Ex58
© Fonds TM1 Ex58
Délivrance
C’est un terme "inconnu" à l’E.N.P en 1947, mais essentiel aux A & M d’Angers. Il est l’objet du 11ème couplet (en 1947) de l’Hymne des Gad’z’Arts et de la 5éme, dernière et grande fête (avec chars) des Anciens en fin des études en 3ème année (en 2010, les 12 et 13 juin... les 60 ans de sortie de ma promo ! Ce terme est le thème des nombreux monômes de Promo. Il est donc utilisé pour le "Pot pourri de l’Enfum’s"*. Quant au chant "Formez le monôme", c’est un dérivé-copié du "Monôme des 508", créé par Roger Missègue, major en estime (An. 108-111) en 1911.
* Monôme créé par Georges Lenfumé (An111-114) chef d’M’S (de musique), qui fit carrière aux Ateliers et Chantiers de Bretagne, Constructions mécaniques.
Michel Kerézéon, 22.04.2010.
© Fonds TM1 Ex58
© Fonds TM1 Ex58
© Fonds TM1 Ex58
Largeau (Gym), Rousseau (Maths), Beaulieu (Ajustage), Buisson (Philo), Crosnier (Descro), Creveuil (Géographie), ...
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Un enterrement en grande pompe de toute la scolarité à Livet, cent jours avant la fin des études.
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A la Dubout
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Monôme 1936 (Promo 132-136).
Mi-Carême, rue Scribe.
© Archives lycée Livet
Monôme 1936 (Promo 132-136).
Mi-Carême, 150 figurants Place Royale.
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Le monôme des 200 jours avant JC, non ! avant la quille, se serait terminé.... devant la statue d’Eugène LIVET place Eugène Livet (après le départ place du Commerce).
© R B
René Baraize cramponnant la quille quelques jours avant le jour J !
© R B
Le Trophée
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Le monôme des Ex 58 montant la rue Crébillon et se dirigeant vers la place Eugène Livet pour ... rendre un hommage au père fondateur de l’école. ( A.S. 1957/1958 )
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La cannib’s traditionnelle le jour de la mi-carême. Le carnaval était encore très exubérant à cette époque.
© Fonds TM1 Ex58
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© Fonds René Baraize
© Fonds René Baraize
© Fonds René Baraize
© Fonds René Baraize
© Fonds René Baraize
© Fonds René Baraize
© Fonds René Baraize
Définition du conscrit
Un conscrit est un être infiniment bête et stupide qui ne vaut pas le quart de la dix-millionième partie du téton gauche d’une puce mâle qui se balance à 45° sur la queue d’un caniche boiteux qui n’a pas bouffé depuis 15 jours.
Définition de l’ancien
Un ancien est un être infiniment supérieur que l’esprit d’un conscrit n’est pas capable de concevoir.
La Boquette
Boquette : (n. f.) (1) salle, bureau, réduit (Ch 1890, An 1903, Li 1910), "boquette à em’s" : salle de musique, "boquette du rat" : réduit du surveillant au dortoir, "boquette du chef" : bureau du chef d’atelier ; (2) École des Arts, "mon temps de Boquette" (An 1925) ; étymologie : déformation de bocal.
Le 28.10.1966
Une attestation en bonne et due forme...
© Jean-Yves Bonnel
© Jean-Yves Bonnel
L’une des deux notes correspond à une déclaration d’amour que tout conscrit devait faire « in situ » épié bien sûr par un ou plusieurs Véter’s. Par tirage au sort, nous devions déclarer notre flamme en tant que Grammairien ou Mathématicien.
Les voici, de mémoire, toutes les deux :
Déclaration d’amour du Grammairien (librement inspirée d’un poème d’Alphonse Allais)
Fallait-il que je vous visse
Pour que vous me séduisissiez (*)
Et qu’à vos pieds je me misse
Pour que vous me repoussassiez
Fallait-il que je vous aimasse
Pour que vous me détestassiez
Et que pour vous je m’enflammasse
Pour que vous m’assassinassiez
(*) je ne suis pas certain que nous disions « séduisissiez » mais plutôt « séduisassiez », petite incartade à l’imparfait du subjonctif pour le bonheur des rimes futures.
Déclaration d’amour du Grammairien
Fallait-il que je vous visse
Pour que vous me séduissassiez
Et qu’à vos pieds je me misse
Pour que vous me repoussassiez
Fallait-il que je vous aimasse
Pour que vous me répondassiez
Et que pour vous je m’enflammasse
Pour que vous m’assassinassiez
Autre version !
Déclaration d’amour du Mathématicien
De même que le soleil attire la lune, je suis attiré vers vous en raison inverse du carré de la distance qui nous sépare.
C’est une permutation circulaire que mon cœur a opéré et tout s’est annulé en moi sauf votre souvenir qui a pris racine.
Vous êtes le lieu géométrique de mes pensées, le sinus de mon cœur, la tangente de mon esprit, le point de concours de mes rêves, le point d’inflexion de ma vie.
Il existe entre vous et moi, un intervalle qui n’admet pas de racines réelles et dont l’équation a pour inconnue l’infini.
Déclaration d’amour du Mathématicien
De même que le soleil attire la lune, je suis attiré vers vous en raison inverse du carré de la distance qui nous sépare.
C’est une véritable permutation circulaire que mon cœur a opérée et tout c’est annulé en moi sauf votre souvenir qui a pris racine.
C’est en vain que je voudrais vous oublier depuis le jour où un rayon de vos beaux yeux a traversé l’ombre de ma vie.
Je ne suis qu’à vous car vos qualités sont mathématiquement incommensurables et vos charmes infinis.
Vous êtes le lieu géométrique de mes pensées, le sinus de mes soupirs et le point de concours des médianes de mes rêves.
Mais hélas ! il y a entre vous et moi un intervalle qui n’admet pas de racine réelle et pourtant c’est une force qui résiste à tout ; son application est au cœur, sa direction est l’hyménée, et son action est un baiser.
Une autre version là encore !
Année 1973
© Archives lycée Livet
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© Archives lycée Livet
Déclinaison 2010
© DSAA